Les origines de Saint-Sébastien sont inconnues. Le document le plus ancien (considéré comme faux par la majorité des historiens) la mentionne en l'an 1014. Il est en revanche plus certain qu'au XIIe siècle, Sanche VI de Navarre, dit le Sage, aurait mis le monastère de Saint-Sébastien entre les mains de l'abbé de Leyre et de l'évêque de Pampelune. Ce document sera confirmé, en 1201, par le roi Pierre Ier. Les premières nouvelles écrites de Saint-Sébastien font référence à un monastère, situé dans le quartier qui encore aujourd'hui est appelé Saint-Sébastien l'Antigua.
Ce lieu a été primitivement connu, selon quelques historiens, comme Izurum. Saint-Sébastien apparaît étymologiquement de l'évolution du mot Donebastian (Done (Santo), et de Sebastian). Ce roi accorda le For de Saint Sébastien (ensemble de lois particulières à la province), qui marquera le début chronologique de l’histoire de la ville.
Aux XIe et XIIe siècles, le monastère de Saint-Sébastien l'Antiguo, de même que son centre spirituel, faisaient partie de la vie sociale naissante et administrative de la population de cette zone, qui, avec le temps, passant par divers avatars qui auront lieu postérieurement, ne sera pas cristallisé dans cette commune.
Saint-Sébastien a été fondée vers 1180 par Sanche VI de Navarre, roi de Navarre. Il naît pour être port maritime de Navarre, et initialement accomplit sa mission comme tel. Le Guipuscoa à partir de l'année 1200 demandera la vassalité du roi castillan Alfonse VIII, ennemi de Sanche le Fort.Pour les commerçants de Saint-Sébastien ce changement sera positif, puisqu'il passe d'un état de petit port d'un petit état en décadence (Navarre), condamné à tomber sous la domination française, à servir de sortie vers la mer a une monarchie castillane, beaucoup plus grande, plus riche et en pleine expansion.
Importante place militaire et base navale au Moyen Âge, la ville est détruite à plusieurs reprises par des incendies au cours de son histoire. Le dernier d'entre eux, consécutif à la guerre d'indépendance en 1813, est à l'origine d'un grand projet de reconstruction urbaine mené au cours du XIXe siècle.
Ce lieu a été primitivement connu, selon quelques historiens, comme Izurum. Saint-Sébastien apparaît étymologiquement de l'évolution du mot Donebastian (Done (Santo), et de Sebastian). Ce roi accorda le For de Saint Sébastien (ensemble de lois particulières à la province), qui marquera le début chronologique de l’histoire de la ville.
Aux XIe et XIIe siècles, le monastère de Saint-Sébastien l'Antiguo, de même que son centre spirituel, faisaient partie de la vie sociale naissante et administrative de la population de cette zone, qui, avec le temps, passant par divers avatars qui auront lieu postérieurement, ne sera pas cristallisé dans cette commune.
Saint-Sébastien a été fondée vers 1180 par Sanche VI de Navarre, roi de Navarre. Il naît pour être port maritime de Navarre, et initialement accomplit sa mission comme tel. Le Guipuscoa à partir de l'année 1200 demandera la vassalité du roi castillan Alfonse VIII, ennemi de Sanche le Fort.Pour les commerçants de Saint-Sébastien ce changement sera positif, puisqu'il passe d'un état de petit port d'un petit état en décadence (Navarre), condamné à tomber sous la domination française, à servir de sortie vers la mer a une monarchie castillane, beaucoup plus grande, plus riche et en pleine expansion.
Importante place militaire et base navale au Moyen Âge, la ville est détruite à plusieurs reprises par des incendies au cours de son histoire. Le dernier d'entre eux, consécutif à la guerre d'indépendance en 1813, est à l'origine d'un grand projet de reconstruction urbaine mené au cours du XIXe siècle.
Les murailles qui enserraient la ville sont détruites en 1863, permettant l'édification de quartiers modernes (ensanches), tel le quartier d'Amara. À partir de 1885, la reine régente Marie-Christine prend l'habitude de venir en villégiature à Saint-Sébastien, suivie par sa cour, puis par la bourgeoisie. La ville devient une station balnéaire réputée, et ne tarde pas à être surnommée « La perle du Cantabrique », nom qui est passé à la postérité.
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