On compte quatorze oratoires sur la commune de Sare, dont cinq situés sur la galzada (voie médiévale) qui se trouve à proximité du centre du village.
Ils furent édifiés selon la tradition, au XVIIe siècle, à la suite de vœux formulés par les marins pêcheurs de Sare. Un oratoire est un petit monument religieux voué au culte d'un saint. Sare est le village basque qui possède le plus d'édifices religieux.
La voie médiévale traverse Sare du Nord (Saint Jean de Luz) vers le Sud (Frontière : Zugarramurdi - Navarre). Autrefois, route incontournable pour accéder chez nos voisins. Aujourd'hui, sentier de loisir où démarrent de nombreuses randonnées en boucle pour découvrir la commune et les alentours. (GR8 - GR10 - PR - Sentier transfrontalier : le pottok bleu (le petit cheval bleu)).
Ils furent édifiés selon la tradition, au XVIIe siècle, à la suite de vœux formulés par les marins pêcheurs de Sare. Un oratoire est un petit monument religieux voué au culte d'un saint. Sare est le village basque qui possède le plus d'édifices religieux.
La voie médiévale traverse Sare du Nord (Saint Jean de Luz) vers le Sud (Frontière : Zugarramurdi - Navarre). Autrefois, route incontournable pour accéder chez nos voisins. Aujourd'hui, sentier de loisir où démarrent de nombreuses randonnées en boucle pour découvrir la commune et les alentours. (GR8 - GR10 - PR - Sentier transfrontalier : le pottok bleu (le petit cheval bleu)).
Faite de torchis, elle a des pans de bois apparents, peints le plus souvent en rouge brun. Son orientation traditionnelle est Est-Ouest, avec l’entrée à l’est, pour se protéger des vents chargés de pluie provenant de l'océan à l’ouest. Elle est constituée d’un bloc rectangulaire, parallélépipède long, étroit et haut, qui évolue en fonction des reconversions (agriculture vers l’élevage intensif par exemple) ou de l’agrandissement de la famille (donnant ainsi l’aspect dissymétrique final si caractéristique, souvent constaté en Labourd, qui est donc une résultante de transformations de la maison et non un plan type initial), surmonté d’une toiture à deux versants en pente douce bien que le climat soit pluvieux (les tuiles canal n’ont ni trou, ni rebord permettant de les accrocher. De plus la faible pente offre moins de prise au vent), de faîtage parallèle au grand côté, débordant beaucoup à l’est et peu ou pas à l’ouest.
Le lorio, caractéristique de la maison labourdine, provient de l’agrandissement du surplomb de l’encorbellement qui fournissait un abri pour dépouiller le maïs. Il fournissait un abri devant l’entrée (aire de dépôt pour les marchandises ou de repos et d’attente pour les mulets à l’arrêt) et pouvait être utilisé pour les assemblées de village. Il est souvent surmonté d’un linteau de bois, en général d’une seule pièce, sa portée étant alors limitée à 7 ou 8 m.
C’est dans la première moitié du XIIIe siècle que des moines Prémontés décidèrent de créer dans cette zone de pâturages, coupée de bois de chênes et peuplée de bergers transhumants, l’un de leurs cinq vicariats prévus sur la route de Compostelle.
Propriété de Juan Perez de Baztan, haut personnage de la cour de Navarre, il fut convenu que ce petit vicariat formerait enclave sur la propriété seigneuriale.
Ce serait le bourg d’Ainhoa, un village-bastide aux maisons parfaitement alignées de chaque côté d’une large avenue.
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