Autrefois au Pays basque (et encore actuellement), la famille sacrifie un cochon à la venue de l'hiver, on fait ainsi ses cochonnailles.
Voisins, famille et amis viennent prêter main forte.
Les hommes égorgent le cochon, le sang récupéré par les femmes servira à la fabrication du boudin.
On confectionnera également des saucisses, des pâtés, les jambons sont salés.
1974 Chemin de Porroteguia Villefranque, on tue le cochon, Zerri hiltzea, comme tous les ans.
Il ne faut pas oublier de porter quelque chose au curé du village.
Voisins, famille et amis viennent prêter main forte.
Les hommes égorgent le cochon, le sang récupéré par les femmes servira à la fabrication du boudin.
On confectionnera également des saucisses, des pâtés, les jambons sont salés.
Il ne faut pas oublier de porter quelque chose au curé du village.
Zerri hiltzea, c'était un peu la fête à la maison.
A l'époque rien ne ne se perdait, on gardait tout : même la graisse qui flottait sur le chaudron où les boudins avaient cuit était recueillie. Une fois refroidie elle servirait à graisser les essieux.
Photos Daniel Velez www.paysbasqueactualites.com
on donner aussi a l'instituteur et nous on tenait la queue du cochon que de souvenir
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