« D'or à un pont à trois arches au naturel maçonné de sable posé sur quatre ondes d'azur et d'argent, surmonté d'une roue solaire svastika (ou hélicoïdale) de gueules et de sable ; en champagne tiercé en pal : au 1 d'or à une tour de sable, au 2 de gueules à une plume d'écriture posée en barre la pointe trempant dans un encrier le tout d'argent, au 3 d'azur à trois flammes d'argent rangées en fasce » (2005)
Ces armes ont été dessinées par Irkus Robles en 2005 et adoptées en 2010 ( ?).
Ces armes ont été dessinées par Irkus Robles en 2005 et adoptées en 2010 ( ?).
Les trois hameaux sont situés en Soule entre le Saison et l'Apoura. Les ponts sont donc nombreux, notamment celui d'Abense. Un pont est un lien entre gens proches ; il est un emblème de concorde. Les ondes d'azur et d'argent représentent bien sur le Saison et l'Apoura.
La roue solaire, symbole universel figurant souvent dans l'art lapidaire basque, évoque ici le soleil dans sa forme la plus primitive, se rapportant à l'ère pré-chrétienne. La lumière et la chaleur prodiguées par le soleil permettent la vie sous toutes ses formes ; par son cycle régulier, il évoque la résurrection et l'immortalité.
La tour est pour la Salle de Sibas, maison noble citée en 1327.
L'encrier et la plume évoquent la famille Jauregiberri d'Alos : Jean, Madeleine et Clément, frères et sœur, tous écrivains et militants de la cause basque. Les croissants rappellent le domec d'Abense.
A Sibas on trouvait un Domec, et une Salle.
La maison noble de Sibas est attribuée par sentence du 24 Juin 1482 à Johannot Athaguy , fils cadet du seigneur d'Athaguy d'Alcay. En 1675, Charlotte de Lassalle, fille et héritière de Marie de Lassalle, épouse Julien Joseph de Vidart-Behasque.
Arnaud de Vidart Lassalle, seigneur de la Salle de Sibas, se marie le 19 décembre 1735 à Marie d'Etcheberry de Béguios ; d'où Engrâce de Lassalle héritière qui épouse Jean Pierre d'Arthez le 12 juin 1765. Jean Pierre d'Arthez était le fils de Pierre d'Arthez ( famille Orthezienne) né vers 1680, et qui vint s'installer à Mauléon.
La roue solaire, symbole universel figurant souvent dans l'art lapidaire basque, évoque ici le soleil dans sa forme la plus primitive, se rapportant à l'ère pré-chrétienne. La lumière et la chaleur prodiguées par le soleil permettent la vie sous toutes ses formes ; par son cycle régulier, il évoque la résurrection et l'immortalité.
La tour est pour la Salle de Sibas, maison noble citée en 1327.
L'encrier et la plume évoquent la famille Jauregiberri d'Alos : Jean, Madeleine et Clément, frères et sœur, tous écrivains et militants de la cause basque. Les croissants rappellent le domec d'Abense.
A Sibas on trouvait un Domec, et une Salle.
La maison noble de Sibas est attribuée par sentence du 24 Juin 1482 à Johannot Athaguy , fils cadet du seigneur d'Athaguy d'Alcay. En 1675, Charlotte de Lassalle, fille et héritière de Marie de Lassalle, épouse Julien Joseph de Vidart-Behasque.
Arnaud de Vidart Lassalle, seigneur de la Salle de Sibas, se marie le 19 décembre 1735 à Marie d'Etcheberry de Béguios ; d'où Engrâce de Lassalle héritière qui épouse Jean Pierre d'Arthez le 12 juin 1765. Jean Pierre d'Arthez était le fils de Pierre d'Arthez ( famille Orthezienne) né vers 1680, et qui vint s'installer à Mauléon.
Jean Jaureguiberri, né à Alos en 1880, médecin. Il publiera « Le Basque Moyen » ; collaborateur de Gure Herria, il décède en 1952
Commentaires
Enregistrer un commentaire