Les transports au Pays basque fin du XIXe siècle

A l'aube de la IIIe République, il y a peu de routes encore. Celle d'Arnéguy ouvre en 1881, celle d'Hendaye-Plage en 1887.
Arnéguy fin du XIXe siècle

Hendaye début du XXe siècle

De Bayonne, il faut passer par Hasparren pour se rendre à Saint-Jean-Pied-de-Port, des bacs coupant l'itinéraire qui suit plus au sud, la vallée de la Nive.
Deux jours sont nécessaires pour couvrir, en voiture attelée, la soixantaine de kilomètres qui séparent les deux villes.

Itxassou début du XXe siècle

Les automobiles, en leur début, sont rares et chères, réservées à de grosses fortunes locales et, surtout, aux riches familles en villégiature sur la côte.

Biarritz début du XXe siècle

Hendaye début du XXe siècle

Les pataches, assurent le transport en commun là où le train ne passe pas encore. De Saint-Jean-Pied-de-Port à Saint-Palais et Mauléon, d'Hasparren à Cambo-les-Bains et Bayonne.

Hasparren fin du XIXe siècle

Hasparren fin du XIXe siècle




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